Dans l'ombre noire des Aiguilles rouges
Sous les eaux si claires du Lac Blanc
Brille la glace veinée d'argent
Et nulle vie dans ces eaux ne bouge
Dans l'ombre noire des Aiguilles rouges
Je contemple, assise, le Lac Blanc
Et je regrette le lointain temps
Où nul marcheur ne venait profaner
Ce sanctuaire de paix immaculé
Sous l'ombre noire des Aiguilles rouges
Dans l'ombre noire des Aiguilles rouges
Où dort le limpide et froid Lac Blanc
Je contemple les glaciers mourants
Et leur moraine ancienne où rien ne bouge.
©eryndel
un poètique coucou par ici
RépondreSupprimerBonjour à toi, Emmanuel, et merci pour ton passage amical !
SupprimerPlus aucun site n'est épargné, malheureusement... De ton poème, ressort l'aspect "paisible" que tu aimerais trouver en ce massif des Alpes, et ton amère déception face à l'esprit de l'Homme.
RépondreSupprimerC'est, malgré tout, délicatement exprimé, Eryndel.
Bien amicalement,
Cathy.
Certains sites demeurent peu fréquentés, heureusement, car le chemin pour s'y rendre est long et laborieux ; mais le Lac Blanc, auquel on peu accéder par quelques minutes de téléphérique puis un peu de marche sur 400 mètres de dénivelé, attire beaucoup trop de touristes pour profiter pleinement des beautés de la montagne : aucune sérénité possible là où les gens viennent en foule.
SupprimerMerci pour ton analyse si juste et à bientôt.
Amitiés.
hello Eryndel
RépondreSupprimerun poètique coucou
en repassant par ici . en ce début septembre mon blog fête ses six ans. bises et A+ d'Emmanuel
Coucou Eryndel
RépondreSupprimerJe ne savais que tu avais repris la plume, c'est quand j'ai vu ton speudo chez Emmanuel que je viens te lire....
Vrai les touristes cherchent tous le calme et la sérénité, le problème c'est qu'ils le font tous en même temps. Belle analyse.
passe une belle soirée
bises