A travers la plaine celtique à l'herbe grise gémissent les vents, et parmi les vieilles pierres du cercle érodé par le temps, résonnent les voix spectrales des druides d'antan. Où sont les peuples fiers d'autrefois, adorateurs de la Nature et de la Terre ? Les brumes fétides de la civilisation sans foi engloutissent les vestiges d'autrefois.
A travers les bosquets morts aux troncs gris dénudés gémissent les vents, et parmi les arbres chauves résonnent les sanglots des dryades d'antan. Où sont les peuples fées d'autrefois, serviteurs de la Nature et de la Terre ? Les pluies acides de la civilisation sans loi rongent les vestiges d'autrefois.
A travers les terres stériles et grises gémissent les vents, et dans les crevasses douloureuses gronde la voix de la Terre endeuillée. Où est la Nature sauvage d'autre fois, sa sœur immortelle ? La civilisation des hommes sans âme a voulu la tuer, et a pulvérisé les vestiges d'autrefois...
©eryndel
un coucou poètique Eryndel
RépondreSupprimerA+ du troubadour
Coucou Emmanuel, et merci ! Je ferais bien de venir te rendre plus souvent la politesse sur ton blog...
RépondreSupprimerAmitiés.