La Nature en fureur gifle les arbres morts
De peur de froid de douleur, les arbres au bord
Du gouffre de la mort, qui craquent qui plient
Et qui gémissent sous son fouet cruel, sans vie.
La Nature en colère pleure, enrage, amère,
La Furie déchaînée hurle et crève la mer,
Malmène l'océan, achève les carènes,
Massacre les flots blancs les flots noir les flots ternes
De ses cheveux de feu elle gifle la terre,
De son râle grondant elle brûle ses fils
Et calcine ses filles et torture les airs,
Et son oeil azuré, noirci par la colère,
Lâche des traits de glace au-dessus des abysses,
Des obus d'eau cinglante furieuse et amère.
De peur de froid de douleur, les arbres au bord
Du gouffre de la mort, qui craquent qui plient
Et qui gémissent sous son fouet cruel, sans vie.
La Nature en colère pleure, enrage, amère,
La Furie déchaînée hurle et crève la mer,
Malmène l'océan, achève les carènes,
Massacre les flots blancs les flots noir les flots ternes
De ses cheveux de feu elle gifle la terre,
De son râle grondant elle brûle ses fils
Et calcine ses filles et torture les airs,
Et son oeil azuré, noirci par la colère,
Lâche des traits de glace au-dessus des abysses,
Des obus d'eau cinglante furieuse et amère.
©eryndel
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