Dans le gouffre brumeux de l'insondable nuit
L'oeil voilé de la lune opaline luisait,
Regard triste pleurant les fées du temps passé
Dont la danse et les chants s'étaient évanouis
L'oeil voilé de la lune opaline luisait,
Chant céleste muet dans la songeuse nuit,
Regard triste pleurant les fées du temps passé
Fanées par le souffle de l'immortel oubli
Chant céleste muet dans la songeuse nuit,
La brume célébrait les fées au pied léger
Fanées par le souffle de l'immortel oubli
Par une nuit cruelle et sans aménité
La brume célébrait les fées au pied léger,
Dans le gouffre brumeux de l'insondable nuit,
Fanées par le souffle de l'immortel oubli.
L'oeil voilé de la lune opaline luisait...
©eryndel
Bonjour Eryndel,
RépondreSupprimerJe continue donc à découvrir tes poèmes. Je trouve le rythme de celui-ci particulièrement remarquable. Etonnant qu'il n'ait suscité aucun autre commentaire à date...
Panzersonate
Bonjour Panzersonate,
SupprimerMerci pour ton passage, je suis heureuse de savoir que ce poème te plaît. En réalité, il avait reçu quelques commentaires sur mon ancien blog, avant que je ne transfère tout d'overblog vers blogspot.
A bientôt.
Eryndel